Entre septembre 2022 et août 2023, les ventes de produits bio ont plongé de 12 % dans les grandes et moyennes surfaces, par rapport à la même période, en 2021-2022. Les consommateurs se serrent la ceinture et tournent le dos au label.
@keepthepace@Camus Mmm, oui et non. De mon coté, je trouve bien d'augmenter les prix car ça permettrait aux producteurs et productrices de mieux vivre. Là, même avec le bio, on les paye au lance pierre.
J'ai 2 solutions pour cette crise :
-la sécurité sociale alimentaire où tous et toutes cotisent et sans l'intervention de l'etat qui fait du blanchissement de l'argent du contribuable
-La monnaie libre. C'est une crypto-monnaie où tous les membres recoit 12g1 par jour. Pas d'euros g1 contre g1.
Il y a des labels alternatifs au bio qui s'intéressent avant tout à la rémunération des producteurs. Aucun ne s'est encore imposé (y a commerce équitable pour les trucs importés) mais ça serait la solution logique. Je dois avouer que j'ai jamais pris le temps de m'y intéresser.
la sécurité sociale alimentaire où tous et toutes cotisent et sans l’intervention de l’etat qui fait du blanchissement de l’argent du contribuable
Ça marcherait comment? une AMAP avec le prix en fonction des revenus? Une cotiz mensuelle en fonction des revenus et des bons d'achat égaux?
La monnaie libre. C’est une crypto-monnaie où tous les membres recoit 12g1 par jour. Pas d’euros g1 contre g1.
Je m'intéressais beaucoup aux cryptomonnaies quand on pouvait encore prétendre que c'était un outil anarchiste et anticapitaliste. Comment marcherait ton truc? On vérifie l'identité des personnes pour éviter les doublons et on donne l'équivalent de tickets de rationnement?
C'est un peu ça. Il y a des gâteaux sucrés bios, des yaourts bios, etc. C'est la version premium de leur équivalents non bio. Ils sont meilleurs, mais pas donné.
Le problème ici n'est pas vraiment le bio, mais le simple fait que ces types de produits ne sont pas câblé pour une économie sous tension.
Je lance le pari que la fabrication de tels produits va revenir dans les mains des gens qui trouveront plus économique de les faire eux mêmes.