Selon Jorge Ahumada, un scientifique spécialisé dans la faune pour Conservation International : « Nous ne savions pas à quoi nous attendre. Certaines de ces espèces ont perdu 90 % de leur habitat. Nous constatons que les espèces indigènes sont plus résilientes que ce que nous pensions. »
Nous constatons que les espèces indigènes sont plus résilientes que ce que nous pensions.
Ça montre qu'une espèce animale, ce n'est pas juste un génome dans des individus, mais un système dans un environnement. Les feux d'eucalyptus sont plutôt fréquent, les koala y sont résilients. « Plus que ce que nous pensions ».
Cela montre, à l'inverse, que les efforts de conservation basé sur la conservation d'individus dans des zoos, et une réintroduction façon « parachutage » ne va hélas pas se passer comme on pense.