Ça peut être une occupation (pour être plus large qu'un métier, et ne pas dire qu'on rêvait de travail étant enfant), un exploit atypique, un art, etc.
Classique, moi c'était pilote d'avion. Jusqu'au jour où mes parents m'ont fait remarquer qu'il fallait faire beaucoup d'études. Du coup, j'ai renoncé et je suis devenu professeur d'université.
Je crois bien que d'abord ca a été musicien pro, puis réparateur d'instruments. Je me suis renseigné très sérieusement et a peu près tout le monde m'a dit que je risquais de finir chômiste professionnel. Donc j'ai fait un master et là je suis au chômage 🙃
Haha! J'ai fait une maîtrise en musique aussi (Québec), contre l'avis de tous. J'ai galèré aussi au début mais maintenant je m'en sort plutôt bien, j'enseigne au Cégep et je produit toujours un peu de musique/sound design. Bref tiens bon, tu vas te faire une place, même si ça prend un peu de temps.
ça fait toujours sourire mes parents mais je voulais être éboueur quand j’étais petit (7 ou 8 ans).
Pensez donc! Se tenir à l’arrière de son véhicule (en se tenant d’une seule main, la classe!), avec un véhicule débordant de gyrophares, de bip bip et boutons lumineux activant une machinerie capable de lever de grosse charge! Whouaaa trop cool (depuis ma fenêtre de gamin bien au chaud et sans l’odeur associée)
Bon plus tard, j’ai du choisir entre étude informatique ou électrotechnique. J’adorai l’informatique mais je trouvais qu’en terme d’emploi ben ça me paraissait plus risqué. Et je préférai garder l’informatique en plaisir/loisir/gaming.
Aucun regret, l’electrotechnique m’a ouvert une carrière dans l’aéronautique et il y a plein de boutons lumineux dans un avion! Win-Win!
Je visais astronautes, j'ai fait un passage comme astronome à haute énérgie, puis je suis allé dans le privé, et j'ai pas eu les dernières selections d'astronautes.
Ahah ça fait toujours classe quand on le dit et c'est un beau métier. C'est évidemment passionnant, sinon ça ferait belle lurette qu'il n'y aurait plus aucun archéologue professionnel.
Mais la réalité c'est qu'on est sous-payés par rapport à notre niveau d'études et de responsabilité. On travaille dans des conditions météorologiques souvent compliquées, dans la boue et on s'use encore bien trop physiquement dans la plupart des régions.
Bref, merci parce que j'avoue que je suis contente de faire un métier que j'aime, mais je suis moins contente de le faire dans les conditions actuelles 😅 un jour ça changera peut être !
Scientifique, ou routier. Rien à voir je sais, mais j'ai toujours aujourd'hui le fantasme de la liberté, le désir du road trip et j'aime conduire. Mais je suis resté plus proche des sciences finalement, avec un plongeeon durable dans l'informatique (et j'ai beaucoup joué à EuroTrucks !)
Pilote de rallye. Famille fauchée donc pas possible les sports mécaniques. Je ne regrette pas tellement, c'est risqué et à moins de percer un gouffre sans fin pour le fric…
Archéologue/égyptologue, chirurgien, entomologiste pour les métiers de rêve. Enfin évidemment je ne rêvais pas de salariat mais ces domaines m'intéressaient beaucoup.