Dans un rapport publié mardi, Générations futures interroge le corpus scientifique sur lequel se fondent les agences réglementaires européennes d’une part, et l’Inserm d’autre part, pour expertiser les effets de l’herbicide sur la santé.
Mon avis sur le glyphosate a beaucoup évolué ces dernières années et il ne faut pas négliger non plus les lobbies vert qui sont en croisade sans réel argument scientifique pertinent. Le problème n’est pas le glyphosate, mais l’utilisation qui en est faite. Je reste persuadé que d’un point de vu environnemental il est beaucoup plus pertinent d’utiliser le glyphosate avec parcimonie pour du semis direct sous couvert que tout autre équivalent « bio » qui va nécessiter plus d’energie pour travailler la terre ou herbicide « naturel » tout aussi voir plus pouri pour l’environnement et/ou totalement inéficace.