Une consommation élevée de viande rouge, en particulier transformée, augmenterait le risque de démence. Une vaste étude de cohorte menée sur plusieurs décennies apporte de nouvelles données sur le lien entre alimentation et santé cérébrale. Faut-il revoir nos assiettes pour préserver notre mémoire ?
Les facettes de la cognition sont multiples et intriquées, voire synergiques lors de leur exécution parallèle : il s’agit de la vitesse de traitement de l'information, de la mémoire, des fonctions exécutives et du langage. Leur détérioration même partielle conduit au déficit cognitif léger (DCL) qui fait le lit des démences, en premier lieu de la maladie d’Alzheimer.