La récente inauguration de l’hôtel de ville de Montréal marque la fin d’un chantier presque deux fois plus long et plus cher que prévu. C’est loin d’être un cas unique à Montréal, où les grands projets sont régulièrement victimes de dépassements majeurs.
Je me demande à quel point les dirigeants de la ville sont responsable et jusqu'à quel point les compagnies sont responsables. Depuis que Valérie Plante et son équipe sont au pouvoir, on leur casse beaucoup de sucre sur le dos.
Que je sache c'est rare de ne pas pouvoir structurer les projets autrement pour qu'ils soient plus petits/modulaires/incrémentaux. Ça semble souvent plus coûteux au départ, mais ça compense par un meilleur contrôle des coûts (et une meilleure adéquation aux besoins car on peut plus facilement réagir à leur évolution)